Par Hugues Petit
Monsieur le Président et chers collègues,
Vous savez que j’ai l’habitude de dire ce que je pense, même si cela doit parfois porter un peu atteinte à votre modestie naturelle, mais je voudrais très sincèrement que j’ai lu votre rapport avec une certaine admiration, pour ne pas dire une admiration certaine. Je ne parle pas ici naturellement du fond du rapport, mais de l’habileté qui y est déployée.
Ce rapport est un modèle de communication politique et si d’aventure l’auteur de ce rapport, car j’imagine que ce n’est pas vous qui l’avez rédigé faute de temps, n’est pas déjà dans votre staff de campagne, il faut vous dépêcher de le prendre.