Communiqué de Dominique Martin, Secrétaire départemental du FN de Haute-Savoie et Conseiller régional – 7 octobre 2013
En toute illégalité, le Pouvoir socialiste supprime le droit d’option de la protection sociale de 160 000 travailleurs frontaliers en violant les directives européennes de liberté de la protection sociale datant de 1992.
Au mépris des directives européennes décrétant la liberté de la protection sociale signées en 1992 par François Mitterrand et les ordonnances du 19 avril 2001 ratifiées par Lionel Jospin qui imposent à l’État français d’accepter que « tous les organismes européens habilités en matière de protection sociale soient mis en concurrence avec les organismes nationaux », le gouvernement aux abois et en proie à la ruine des finances publiques décident arbitrairement de supprimer la liberté de la protection sociale de la communauté des frontaliers pour les affilier de force à la « CMU » de base à raison de 8% de leur revenu mensuel brut pour des prestations santé minimales en France, et naturellement la fin des soins en Suisse.
Ce racket aberrant représente 270 millions d’euros par an pour soi-disant renflouer les finances de l’État, éternel tonneau des danaïdes.
Ainsi en juin 2014, les frontaliers au bénéfice d’assurance maladie privée seront rattachés de force à la CMU par un pouvoir omnipotent en violation du Droit européen.