Lors de la séance plénière des 30 et 31 mai derniers, Jean-Jack Queyranne et ses acolytes de gauche nous ont donné un triste spectacle sur la liberté, la tolérance et la démocratie. Ces agissements discutables ont entraîné une réaction ferme et claire de notre président de groupe, Bruno Gollnisch. Dans le même contexte, ce dernier a également pris la parole au Parlement européen pour dénoncer l’hypocrisie politique pratiquée par nos dirigeants socialo-écolo-communistes. A en juger par les faits, la liberté, la tolérance et la démocratie ne sont apparemment pas pour tout le monde en Rhône-Alpes et en France :
Explication de vote de Bruno Gollnisch sur la situation en Turquie (RC7-0305/2013)
En théorie, toute ouverture de négociations d’adhésion à l’Union européenne doit avoir comme préalable le respect d’un certain nombre de critères, dits « de Copenhague » notamment concernant le respect des droits de l’Homme et de l’état de droit. A fortiori quand celles-ci ont commencé.
Vous auriez pu profiter des événements en Turquie pour en tirer les conséquences qui s’imposent : l’arrêt des négociations et une réorientation de nos relations avec ce pays vers d’autres formes de coopération ou de partenariat. Bien évidemment vous ne l’avez pas fait.
Vous auriez pu faire également le parallèle avec la manière dont le gouvernement français a réprimé l’immense mouvement populaire contre le mariage prétendu « pour tous » : arrestations et gardes à vue arbitraires, entraves à la liberté de circulation et de manifestation, violences policières sur ordre des autorités…
Des centaines de plaintes ont été déposées pour protester contre ces procédés indignes que le gouvernement n’emploie d’ailleurs que contre les Français « bien élevés ». La racaille du Trocadéro, qui a transformé un rassemblement qui se voulait festif en nuit d’émeute et de pillage, doit bien rigoler.
Certes, il n’y a pas eu de morts en France. Mais le principe reste le même. Et pour vous, tous les peuples sont dignes d’attention, sauf les peuples européens.