Intervention de Christian Grangis – 23 septembre 2011
Rapport n° 11.07.526
Monsieur le Président, chers collègues,
Le rapport que vous nous présentez, adhésion à la maison Fleuve Rhône, est tout d’abord une présentation de cette association loi 1901 constituée en date du 5 juillet 2000.
Présentation très consensuelle où se mêlent les recherches en sciences humaines et sociales, les études, l’expertise, la formation, la documentation, la diffusion culturelle et mise en valeur de projets de développement.
Il n’y a là pas de quoi « fouetter un chat ». Mais en regardant de plus près derrière la vitrine de cette association, on découvre que se cachent les utopies pseudos – écologiques.
Tout nous le prouve, le partenariat avec la ville rouge de Givors.
Et si nous avions encore des doutes, la FRAPNA figure parmi leurs amis, ce qui ne va pas rassurer les associations chasse – pêche.
Il va de soi que même s’il y avait un certain nombre d’actions positives par le passé avec une véritable pensée écologique et pragmatique, cela ne l’est plus depuis plusieurs années, avec l’arrivée, Mr le Président, de votre exécutif plus vert que rose. Et les nombreux rapports qui ont été votés en direction de cette association, pour lesquels notre groupe s’est toujours opposé.
Nous voterons contre cette adhésion, qui ne peut que pervertir davantage un véritable projet écologique avec une arme la subvention qui n’est autre qu’un moyen de pression permanent ; que vous effectuez aussi sur d’autres dossiers, comme celui par exemple des contrats globaux de développement.
Sa cohorte de concepts plus délirants les uns que les autres avec le mot citoyen employé à toutes les sauces, rendent ces dossiers imbuvables, alors qu’ils devraient avoir l’assentiment de tous les groupes.
Je vous remercie de votre attention.