Communiqué de presse du groupe FN
Ce 6 novembre au soir , l’organisation B’nai B’rith France annonce un dîner de gala présidé par Bertrand Delanoë. Le B’nai B’rith se présente lui-même comme une organisation maçonnique réservée aux juifs et se réclamant officiellement, sur son site, du sionisme.
Le 26 mars 1986, le journal Le Monde révélait le pacte conclu au nom de Jacques Chirac et du RPR devant le B’nai B’rith de ne s’allier en aucun cas au Front National. C’est dire son importance.
A l’occasion de cette soirée, une remise de médaille d’honneur sera remise, pour : “leur qualité, leur courage, leur abnégation et leur ténacité (…leur) esprit d’ouverture, d’humanisme et de tolérance (sic) à : Alain MORVAN, Philippe VAL et François ZIMMERAY.“
- M. Zimeray, élu socialiste, est un ardent défenseur de la politique d’Israël dans les territoires occupés.
- La tolérance de M. Philippe Val est très unilatérale. Tolérance envers son camarade pédophile Font, intolérance envers son autre camarade Siné. Charlie Hebdo n’est ordurier que dans les limites permises.
- M. Alain Morvan, ex-recteur lyonnais, fonction qu’il a due à son éphémère carte du RPR, ne s’est distingué que par une opposition ambiguë à l’ouverture d’un lycée musulman à Lyon, et, surtout, par la haine implacable qu’il a montrée à l’égard de Bruno Gollnisch, ce qui, d’un avis unanime, a protégé ce recteur quelques mois d’une révocation que son caractère avait rendue inéluctable.
S’il a réussi à priver les étudiants de M. Gollnisch d’un enseignement qu’ils étaient unanimes à réclamer, M. Morvan n’en a pas moins été condamné par le Conseil d’Etat pour atteinte grave à une liberté fondamentale, et par la juridiction pénale pour injure. Les termes : “esprit d’ouverture”, “humanisme, “tolérance”, employés par le B’nai B’rith traduisent donc, comme de coutume, une complète inversion du langage.
En somme, ce 6 novembre, les communautaristes décorent les sectaires.